http://www.bargainorgonite.com/?p=2135
Electroculture – Les bases
Retranscription du document original (Magasine Rustica n° 458 du 20 au 26 septembre 1978):OK_electriser_le_potager_1978.pdf
Les nouveaux sorciers verts
Des poireaux gros comme un bras de jardinier, des fraises belles comme des oranges, de l’ail quatre fois plus beau, c’est le potager géant. Le potager de l’électroculture cette reine du jardinage aux miraculeuses méthodes.
« Une tête de 800 g! Ce n’est rien, affirme M. Thévenin. A la limite ca peut arriver une fois. Non, ce qu’il faut ce n’est pas en récolter une mais cent. Vous voyez ce carré de 25 m², planté en ail, la récolte sera sûrement de 100 kg, au lieu de 10 en culture traditionnelle. »
Nous étions fin juin, quand M. Thévenin me racontait cela. Fin juillet au moment de l’arrachage, je suis retourné le voir il n’avait pas menti. Les aulx couchés sur le sol, se ressuyaient au soleil. Ils offraient des têtes de 900 g et 1 kilo. 100 kg d’ail sur 25 m² de potager, M. Thévenin avait gagné son PARI. 800 g.. L’aiguille de la balance s’est stabilisée et annonce 800 g. A gauche, dans un plateau une tare, à droite dans l’autre plateau une tête d’ail. Vous avez bien lu! C’est bien une tête d’ail de 800 g que M. Thévenin a mis dans sa balance. Elle est grosse, cinq fois plus grosse qu’une tête d’ail normale.
L’électroculture fée du jardinage
L’auteur de ces résultats incroyables, cette fée du jardinage, cette muse jardinière a pour nom l’électroculture.
« Tiens vous connaissez!
– Oui des fils qu’on branche à un compteur. Et puis on fait passer du courant. Ce n’est pas naturel…
– Non, non… »
Non l’électroculture et l’E.D.F. n’ont rien à voir. Certes il s’agit bien de courant, mais il n’est pas produit par une centrale. Il se trouve dans l’air, dans la terre, en nous. Cette électricité gratuite, naturelle prend plusieurs aspects:
- Le champ magnétique terrestre
Le champ magnétique converge vers le pôle Nord. Preuve en est, l’aiguille de votre boussole qui est sous son influence et indique constamment cette direction. - Les courants telluriques
Ce sont des courants électriques qui parcourent la terre. Ils se déplacent logiquement d’Est en Ouest, mais leur trajectoire varie selon la disposition et la constitution des couches terrestres. D’après les physiciens, leur intensité diffère selon les mois de l’année. En juin leur intensité est maximum, en septembre minimum. - Les ondes cosmiques
Elles viennent de la stratosphère et pénètrent l’écorce terrestre.
L’électroculture consiste donc à capter et à combiner ces forces électro-magnétiques au profit des plantes. Un légume ainsi cultivé pousse mieux; sa graine germe plus vite; il croît plus facilement, devient plus gros. Il se défend mieux tout seul, face aux maladies ou aux parasites. Il résiste mieux à la sécheresse ou dans un sol ingrat. En effet, cet apport d’énergie permet aux racines d’aller chercher leur nourriture beaucoup plus profondément et d’atteindre des nappes d’eau souterraines inaccessibles à une plante cultivée normalement. Cette énergie, tout végétal la reçoit naturellement: par ses racines (qui jouent le rôle d’antennes) il capte l’électricité négative du sol et la libère par ses parties aériennes (antennes également). Ces dernières recueillent l’électricité atmosphérique positive. L’échange de ces forces détermine la croissance du végétal et le bon fonctionnement du système chlorophyllien; en résumé, il organise la vie grâce à l’ascension de la sève. Les plantes cultivées par électroculture profitent donc au maximum de cette énergie qui, si elle n’était pas ainsi récupérée, serait gaspillée. Ceci est la théorie des « électrocultivateurs », malgré certains écologistes qui affirment que l’électroculture détourne des forces naturelles bénéfiques à tout un ensemble au profit d’un végétal privilégié ou d’une culture particulière. Je ne rentrerai pas dans ce débat, mais il me paraît nécessaire de signaler l’existence de ces deux thèses. Par ailleurs il apparaît que l’électroculture permet avant tout de révéler et de produire une énergie salutaire. En effet tout végétal est conducteur pour un courant électrique de quelques millivolts (expérience faite en branchant un contrôleur de courant sur un plant de fève); en présence d’une installation d’électroculture ce courant électrique s’amplifie.
L’électroculture vous intéresse, vous la découvrez aujourd’hui. Sachez toutefois qu’elle existe depuis fort longtemps. Les anciens, les Égyptiens en particulier, s’étaient rendus compte qu’autour de certains édifices ou de rochers, et selon certaines orientations, la végétation poussait mieux et plus dru. les chercheurs se sont penchés sur cette affirmation et lui ont trouvé une explication: certains rochers sont riches en métal électropositif (comme le cuivre), le sol étant lui naturellement porteur de charges électriques négatives, ils ont pensé qu’en certains endroits, il y avait production naturelle de forces électromagnétiques bénéfiques aux plantes.
Vous voulez donc monter une installation dans votre potager. Il en existe plusieurs sortes. Toutes sont des prototypes (déjà vous pouvez trouver dans le commerce un appareillage léger, voir nos annonces publicitaires).
Dans Rustica, il y a quelques années nous vous avions montré quelques installations simples (voir un des exemples: schéma A).
Aujourd’hui le « système Paulin », du nom de son inventeur, est le plus facile à réaliser pour l’amateur. Il est constitué d’une antenne métallique peinte (tube de canalisation), chapeautée de pointes en fer, isolée (isolation en porcelaine récupéré sur les lignes électriques hors d’usage, une bouteille plastique ou tout autre matériau non conducteur placé à la base de l’antenne) et fichée en terre. Un fil de cuivre relie l’antenne à un morceau de grillage en fil de fer galvanisé (grillage ordinaire vendu dans le commerce) long de 3 à 4 mètres selon le carré de terre à cultiver, et haut de 20 cm. Ce grillage est enterré à quelques centimètres de profondeur pour faciliter l’emploi des outils de jardinage. A 2 ou 3 mètres, face à ce grillage de mêmes dimensions mais d’un métal électropositif, par exemple en cuivre ou en laiton. Il n’est rattaché ni au précédent ni à l’antenne en cuivre (voir schéma B). Le tout est orienté de façon à permettre le passage des courants telluriques Nord-Sud.
Une autre installation (orientée Nord-Sud) consiste à placer un aimant droit (éliminez les aimants type fer à cheval) sous terre et à le relier à un quadrillage de fils de fer galvanisé placé parallèlement. Le pôle positif (Nord) de l’aimant est dirigé vers le Nord (voir schéma C).
Pour d’autres expériences, vous pouvez aussi réaliser une cage en fil de fer galvanisé. Vous l’enterrez légèrement. Au centre de ce cylindre vertical vous piquez une antenne en cuivre non reliée à la cage (voir schéma D). Les cultures semées ou plantées à l’intérieur donnent généralement un rendement deux à trois fois plus élevé que les cultures traditionnelles. J’ai vu chez M. Thévenin des aulx ainsi cultivés qui dépassaient d’une bonne tête (10 centimètres) leurs voisins.
L’électroculture sans fil
Mais le fin du fin en électroculture consistera demain à supprimer antenne et fil. Comment, direz-vous, capter l’énergie nécessaire? En fabriquant une « pile naturelle »: de chaque côté du terrain à cultiver sont disposées deux bandes de compost. L’une est acide (chargées d’ions positifs) et constituées de terre de bruyère, mâche-fer, sable de Loire, sablon de carrière, poudre de roche, tourbe, cendres de bois, poussier de charbon, suie, fumier de poule; l’autre est basique (carencée en ions positifs) et composée de tuf, terre calcaire, plâtre et chaux de maçonnerie, fumier de ferme. Par le système des vases communicants les corps basiques attirent les ions positifs des corps acides. Un mini courant électrique naît de cet échange et traverse la planche en culture. Il stimule sur son passage la végétation (voir schéma E).
Des légumes énormes, une production plus importante, une rentabilité accrue, la réduction de l’arrosage (50 à 70%), et l’économie sur la fumure, pour une culture entièrement biologique, voilà les avantages de l’électroculture. Cette technique de jardinage de l’an 2000, née pourtant de l’antiquité n’a pas fini de nous étonner. Nous attendons le récit de vos expériences.
Electroculture – Les bases revisitées
Suite au document parlant de l’électroculture sur cette page: Electroculture – Les bases
Je souhaite y ajouter quelques explications plus techniques, car il contient plusieurs erreurs dans l’explication; cela dit les Schéma et les installations qui y sont décrites sont correctes, mais les explications ne le sont pas tout à fait et c’est aussi un peu incomplet à mon goût.
Des documents sur l’électroculture existent en deux versions, il y a deux visions de l’électroculture, qui sont différentes, mais peuvent à mon avis très bien être complémentaires l’une de l’autre:
Venant du monde anglophone: beaucoup de documents existent parlant d’électroculture, mais ceux-ci parlent en majorité de l’utilisation de haut voltages générés par des générateurs (majoritaire des bobines Tesla) et qui, par diverses méthodes, sont envoyés dans le sol ou dans les airs pour aider la croissance des plantes.
Venant du monde francophone: une autre sorte d’électroculture est décrite, qui se base sur l’utilisation des propriétés naturelles de certains matériaux pour attirer les électrons dans l’air et dans le sol et les faire mieux circuler aux endroits voulus.
Ces deux méthodes sont à mon sens complémentaires. Mais il faut faire la distinction, car quand on cherche ce qui existe sur l’électroculture on tombe facilement sur des textes qui parlent du même sujet, l’électroculture, mais qui ne décrivent pas du tout les mêmes méthodes.
La version francophone de l’électroculture consiste à utiliser des matériaux spécifiques, arrangés de façons spécifiques aussi pour profiter d’une propriété naturelle inhérente à tous les matériaux, c.a.d. l’électronégativité de ces matériaux. Certains matériaux sont plus électronégatifs que d’autres et donc en utilisant différents matériaux on peut plus ou moins guider un flux d’électrons naturellement captés.
La version anglophone est aussi très intéressante, car dans tous les documents que j’ai pu lire, c’est basé sur l’utilisation de haut voltages générés par des bobines Tesla, or comme je l’explique autre part sur ce site, les bobines Tesla génèrent des courants électriques de très hauts voltages avec très peu de courant en utilisant le phénomène de résonance. C’est ca, la résonance, qui rend l’idée fantastique aussi, car comme je l’explique pour ma compréhension de l’orgonite, l’orgonite semble marcher par un effet de résonance recréant des vibrations de champs électriques avec une fréquence pure. Une bobine tesla crée des hauts voltages à haute fréquence, mais surtout d’une pureté quasi inégalée, c.a.d. des ondes sinusoïdales magnifiquement régulières. Or comme vous le savez peut-être déjà, je pense que ces champs électriques qui ont une vibration parfaite (l’onde sinusoïdale n’étant pas déformée du tout) sont très bénéfiques pour tous les êtres vivants: les plantes, les insectes, les animaux et les humains et même ce qu’on considère comme inanimé. Les plantes adorent la musique classique, qui est une vibration sonore très propre, avec des harmonies parfaites entre différentes notes. Donc je pense aussi que les plantes adorent des vibrations parfaites d’autres types, dans ce cas ci électrique. Ce sera un sujet d’information que je compte bien aborder dans le futur.
Pour le moment, revenons-en à l’électroculture, version francophone, elle se base sur l’électronégativité naturelle de tout élément existant sur terre.
L’électronégativité est simplement la tendance qu’à un certain matériau d’attirer les électrons, plus elle est haute plus l’élément en question attire les électrons. C’est sur ca que je souhaite corriger/expliquer les erreurs de ‘rigueur’ que j’ai constaté en lisant/retranscrivant le document de 1978 (Electroculture – Les bases).
Il n’y a pas vraiment d’électroposivité, c’est une mesure relative de l’électronégativité; c.a.d. que l’Or par exemple a une électronégativité de 2,4 (ou 2,54 selon d’autres mesures), le fer a une électronégativité de 1,83, donc comparé à l’or, le fer est électropositif, car l’or attire beaucoup plus les électrons que le fer. On ne peut parler d’électropositivité d’un matériau que par rapport à un autre, ca n’a aucun sens d’appeler un élément électropositif… Non, on peut juste dire qu’il est plus/ou moins électropositif (ou moins/plus électronégatif) comparé à un autre.
Donc, techniquement, voici une table périodique, pas très précise, indiquant l’électronégativité des éléments connus, eh oui c’est bien la chimie à petites doses et ce n’est pas si compliqué que ca. Par contre je ne vais pas entrer dans les détails de comment l’électronégativité est déterminée, car là ca devient bien plus compliqué!
Ici vous pouvez voir que le Fluor (F) en haut à droite est l’élément le plus électronégatif existant. Après il faudrait aussi parler de l’électronégativité d’alliages et de combinaisons de matériaux, car dans la nature et dans notre société on trouve souvent des choses qui ne sont pas juste l’élément en lui même, comme le laiton qui est un alliage de cuivre et de zinc, le quartz, qui est du silicone et de l’oxygène etc. tous ces assemblages ont aussi une électronégativité propre, mais ca devient beaucoup plus dur à déterminer. Donc restons-en aux éléments purs, et ceux qui nous intéressent pour l’électroculture, que je vais classer par ordre décroissant d’électronégativité:
Or (Au): 2,4
Platine (Pt): 2,2
Argent (Ag): 1,93
Cuivre (Cu): 1,9
Fer (Fe): 1,83
Zinc (Zn): 1,65
Aluminium (Al): 1,61
Ça suffira largement! Juste en voyant ca vous pouvez aussi comprendre que les métaux précieux sont très utiles en électronique, car non seulement ce sont d’excellents conducteurs d’électricité, mais aussi très électronégatifs (en ce qui concerne les métaux). Cependant, veuillez noter qu’une haute électronégativité ne va pas de pair avec une haute conductivité électrique, le Fluor est l’élément le plus électronégatif connu, de ce fait aussi très réactif, car vu qu’il attire les électrons très facilement il a toujours tendance à se lier avec d’autres éléments et ne reste vraiment pas facilement à l’état pur dans la nature, mais il n’est pas un conducteur électrique pour autant, car la conductivité électrique dépend surtout du fait qu’il y ai un électron libre sur l’orbite externe d’un atome, ou peut-être deux, mais le fluor en a sept…
Bref, pour en revenir à l’électroculture, nous avons maintenant l’électronégativité des métaux les plus courants, donc on peu aller dans plus de détails.
Prenons le premier Schéma, A, que j’ai ré-édité pour plus de clarté.
Le graphite est une forme de carbone, donc j’y ai associé l’électronégativité du carbone, 2,55, ce n’est peut-être pas 100% correct, mais même si c’était 2,3 ou 2, c’est clairement supérieur à l’électronégativité du zinc qui est de 1,65. Donc le carbone attire plus les électrons que le zinc, ce qui fait que le courant d’électrons naturels va naturellement traverser le fil de cuivre en allant de l’électrode en zinc vers celle en graphite. Les électrons sont ici majoritairement captés dans le réservoir infini d’électrons qu’est la terre! Si les électrodes sont au contact de l’air elles vont aussi clairement capter des électrons dans l’air. Ce qu’il faut aussi bien comprendre, c’est pour ca que j’ai ajouté des flèches en pointillés rouges, c’est que les électrons vont aussi passer à travers le sol d’une électrode à l’autre, car le sol est un conducteur (à conductivité variable, selon l’humidité et les minéraux présents). Voilà cette installation est claire; elle favorise le flux d’électrons aussi bien à travers le sol que dans l’air avec le/les fil/fils en cuivre.
Passons au Schéma B, qui est aussi ré-édité.
Juste avant de commencer, au long de l’article, faites attention aux directions du nord, sud, est, ouest si vous voulez bien construire une des ces installations; parfois le nord est vers le haut, parfois c’est INVERSÉ, comme ici.
Ici il faut bien comprendre qu’il y a deux parties, l’antenne et les grillages. L’antenne a une pointe en un métal moins électronégatif que le tube. C’est fait exprès, dans le document original ils disent d’utiliser du fil de fer, mais le zinc me semble aussi bien approprié. le tube en cuivre est aussi le plus approprié, car il a une électronégativité de 1,9, ce qui permet de trouver facilement des autres métaux pour la pointe qui sont moins électronégatifs; le zinc (1,65), le fer (1,83). Le haut de l’antenne est moins électronégatif que le tube, donc les électrons de dirigent naturellement vers le tube. Le but de l’antenne est de collecter des électrons dans l’air. Il faut ensuite bien remarquer que dans cette installation l’antenne doit être isolée du sol! C’est très important, il ne faut pas qu’il y ai de conduction électrique entre la base de l’antenne et le sol. Sinon comme pour le principe d’un paratonnerre, l’excès d’électrons va aller tout droit dans le sol. Ce n’est pas ce qu’on veut, ce qu’on veut c’est capter les électrons dans l’air et les envoyer dans la grille en fer d’abord!
Vous allez remarquer que quand on connecte le tube en cuivre avec un câble électrique standard (en cuivre) à la grille en fer galvanisé dans le sol, le cuivre a une électronégativité de 1,9, mais le fer seulement 1,83. Donc on pourrait penser que les électrons vont aller de la grille vers le tube en cuivre, vu qu’il a une électronégativité supérieure et donc le tube en cuivre devrait plus attirer les électrons que la grille en fer… Mais, ce n’est pas le cas, car ce qu’il ne faut pas oublier c’est que les courants électriques cherchent tout le temps à aller vers la terre, les éclairs touchent le sol, on isole nos maisons avec une prise à la terre. C’est un peu paradoxal, la terre est autant un réservoir d’électrons, qu’un absorbant d’électrons. Enfaite c’est parce que la terre absorbe pleins d’énergies naturelles qu’elle est toujours pleine d’électrons! Et de toute façon, soit dit en passant, il y a des électrons libres absolument de partout!
Donc ici, les électrons accumulés à partir de l’air dans l’antenne, sont transférés au grillage en fer, car le fer est connecté à la terre donc les électrons vont naturellement dans cette direction, l’électronégativité des matériaux ne change rien pour ce transfert d’énergies de l’antenne à la terre/grille. Donc on a une antenne qui infuse des électrons dans le grillage en fer, et ces électrons arrivent dans le grillage en fer et doivent se disperser, les électrons qui arrivent de l’antenne vont d’abord aller dans le grillage en fer avant d’aller dans la terre, car le fer est un meilleur conducteur électrique que la terre (il a moins de résistance). C’est là que l’autre grillage opposé joue son rôle, vu qu’il est de nouveau en cuivre ou d’un métal plus électronégatif que le fer, les électrons circulant dans le grillage en fer auront une tendance à être légèrement attirés par le grillage d’en face avant d’aller se disperser de toute façon…
D’un point de vue électrique c’est évident, les électrons prennent toujours le chemin avec le moins de résistance électrique; donc ils arrivent dans le grillage en fer et ensuite doivent aller dans le sol, or d’un autre côté il y a le grillage en cuivre, légèrement plus électronégatif, donc ca crée naturellement un chemin un tout petit peu moins résistant en direction du grillage en cuivre (car additionné à la résistance de la terre il y a l’attraction du cuivre..)
L’autre point important, qu’il faut noter c’est que c’est grillages doivent être placés à l’est et à l’ouest, parce que en direction nord-sud on veut laisser tranquille le champ magnétique naturel.
Là je m’avance avec mes compréhensions propres pour expliquer, pourquoi doit-on faire aller les électrons dans le sol de l’est vers l’ouest? et non de l’ouest vers l’est? Si on prend on compte le sens de rotation de la terre, si on pouvait laisser un objet dans l’air qui ne soit pas sous l’effet de la gravité terrestre, ni de l’inertie etc. eh ben au fur et à mesure que la terre tourne, cet objet en question se retrouverai autre part sur la planète sans avoir besoin de se déplacer. Or en faisant aller les électrons de l’est vers l’ouest, la terre tourne en sens opposé, donc cela favorise de façon minime un déplacement plus facile des électrons d’est en ouest, plutôt que le contraire. (curtotu étant donné qu’un électron est tellement léger, il n’est pas affecté par la gravité de la même façon que des objets. Ça devient compliqué de se poser ce genre de questions, car il faut aborder le sujet des vitesses relativistes et non relativistes..
Sinon il y a aussi une autre approche intéressante qui me semble aussi importante à prendre en compte, une onde électromagnétique est composée, comme sont nom l’indique, d’un champ magnétique et d’un champ électrique.
Une particule de lumière (représentée par le point vert), se dirige vers la droite ici, avec les champs électriques et magnétiques représentés ci-dessus. Si on considère que le champ magnétique naturel et le champ électrique allant d’est en ouest pourraient inciter des ondes électromagnétiques à se caler sur ces mêmes champs électriques et magnétiques pour se diriger, on peut en tirer que l’installation ci-dessus guide les ondes lumineuses en direction de l’intérieur de la terre. D’ailleurs les courants telluriques naturels et le champ magnétique naturel sont dans ce même sens de toute façon. Cette installation d’électroculture favorise la pénétration de la lumière dans le sol… Si quelqu’un comprends ca, en tout cas c’est ce que j’en tire. Il ne faut pas oublier que ce que nous voyons n’est qu’une infime partie du spectre lumineux, pleins de fréquences invisibles à nos yeux peuvent être mieux guidées vers le sol, d’après moi, les ondes cosmiques sont des ondes électromagnétiques aussi.
Passons au Schéma C, aussi ré-édité.
Cette installation, au lieu de favoriser le déplacement d’électrons naturels, amplifie l’orientation du champ magnétique naturel. N’oubliez pas en voyant l’image, que l’aiguille de la boussole qui pointe vers le nord magnétique, signifie que ce qu’on considère comme le nord est enfaite le pôle sud d’un aimant, c’est une convention assez déroutante, cependant très logique! Cette installation, n’a plus besoin d’être expliquée plus que ca car ici il n’est pas question d’électronégativité des métaux, on pourrait plus appeler cela de la magnétoculture… L’aimant amplifie l’alignement naturel des électrons dans le fer, qui est un matériel ferromagnétique et donc les électrons peuvent garder un alignement plus ou moins permanent. Ici on ne peut pas utiliser une grille en cuivre ou d’un autre métal non ferromagnétique, il faut un métal ferromagnétique.
Ce qui peut-être noté encore une fois, et qui est ma propre conclusion, est encore que d’après moi cette installation permet aussi de mieux guider la lumière vers le sol, étant donner que le courant tellurique électrique allant d’est en ouest n’est pas perturbé et qu’on ‘amplifie’ le champ magnétique terrestre.
Le Schéma D maintenant.
Cette installation est clairement la plus simple à mettre en place, dans un pot de fleurs, ou autour d’une plante dans le jardin. Mais elle me semble moins efficace comparée à la méthode B et C. Et Si on oriente bien l’installation A, je pense aussi que ce montage (A) est plus efficace que cette installation.
Mais c’est là plus simple à mettre en place et je pense qu’elle apporte quand même des effets très bénéfiques. Le point négatif que je vois ici est que le courant naturel d’électrons dans le sol sera multidirectionnel et donc cela n’amplifie pas les courants telluriques naturels. Cependant cette installation permet clairement de favoriser le flux d’électrons dans le sol et hors sol. L’antenne est pareille que l’installation B, avec une pointe faite avec un métal qui a une électronégativité inférieure au tube en cuivre, donc cela attire les électrons de l’air vers le sol. Par contre ici l’antenne est plantée directement dans le sol. Ici il faut voir, comme dans l’installation B, encore 2 systèmes plus ou moins indépendants l’un de l’autre, mais quand même reliés!
L’antenne est directement plantée dans le sol et donc les électrons captés dans l’air vont naturellement vers le chemin de moindre résistance électrique, c.a.d. ils vont se diffuser dans le sol. Ensuite la grille autour, en fer galvanisé, donc d’électronégativité inférieure au cuivre, va, il me semble, capter les électrons dans le sol et aussi ceux diffusés pas l’antenne et à nouveaux il y aura un flux d’électrons qui va aller du grillage vers l’antenne. Et ainsi de suite le cycle continue, ils retournent dans l’antenne, retournent dans le sol, sont partiellement re-captés par le grillage etc.
Cette installation il me semble, aide les électrons captés naturellement à ‘tourner en rond’ au même endroit pendant beaucoup plus longtemps que si il n’y avait pas cette installation. Ce qui permet à la plante de prendre le temps d’absorber plus d’électrons, vu qu’ils ont tendance à re-circuler au même endroit pleins de fois de suite.
Finalement, le Schéma E, qui à moi aussi, comme aux éditeurs du magasine Rustica, me semble le fin du fin, car là on fait vraiment avec ce qu’il y a dans la nature aux environs proches et rien d’autre.
Leur explication était tout à fait correcte, la seule chose qui manque à ce Schéma c’est de bien orienter les bandes de compost, pour ne pas les mettre dans le sens Nord-Sud ou Sud-Nord, mais bien dans le sens Est-Ouest, pour amplifier les courants telluriques naturels et ne pas déranger le champ magnétique naturel de la planète.
Pour finir en écrivant ca je me suis rendu compte d’un dernier détail, les ondes comiques! Ce que j’en ai appris en astrophysique est que ces ondes peuvent toutes être considérées comme de la lumière (ou une vibration électromagnétique). Et donc si je ne me trompe pas dans ce que j’avance, les diverses installations d’électroculture, permettent, en amplifiants les courants telluriques ou le champ magnétique naturel, non seulement aux courants naturels terrestres de mieux circuler mais aussi aux ondes cosmiques de rentrer dans le sol bien plus facilement.